Publié le 13 Mai, 2025

Vous les voyez dans les pubs à la télé, ces poulets qui courent ?

Vous avez déjà vu ces publicités : un poulet qui court dans une prairie infinie, "élevées en plein air" et la promesse d’un goût “authentique”.
Mais vous savez comme moi que la réalité est toute autre.

Même en bio, les volailles sont élevées dans des exploitations agricoles spécialisées et industrialisées
Elles vivent dans des bâtiments industriels, où l’air devient irrespirable dès que la ventilation tombe en panne.
Quand elles peuvent sortir, c’est sur une bande de terre battue, boueuse en hiver et poussiéreuse en été.

Leur nourriture ?
Des ingrédients fabriqués dans des usines, parfois venus de l’autre bout du monde.

Et elles partent à l'abattoir à 38 jours.
Un mois à peine.

Autant dire que la volaille n'a pas le temps de grandir et d'avoir une chair savoureuse.

Mais vous ne verrez jamais ça à la télé.



Chez Nicolas, il se passe autre chose

Nicolas n’élève pas des volailles.
Il cultive un écosystème.

Dans sa ferme, vous trouvez :

  • des volailles
  • des Porcs Gascons
  • des céréales
  • des arbres partout
  • un atelier de meunerie et de boulangerie...
  • des enfants… et plein d’autres choses.

Une vraie ferme habitée. Pas une “exploitation”.

Les poulets et les pintades sont élevés dans une ferme en polyculture-élevage au milieu des arbres.

J’oserais dire « à l’ancienne » si ce n’était pas si galvaudé.

Des poulaillers mobiles se déplacent au fil des saisons, laissant la terre se régénérer naturellement.
Sous les arbres, les volailles trouvent de l’ombre, de la fraîcheur, de l’herbe, des insectes, des vers, des feuilles.
Elles bougent, elles grattent, elles cherchent.
Et ça change tout.

Ma rencontre avec Nicolas

J’ai rencontré Nicolas en 2014 parce que nous avons tous les deux été précurseurs dans la remise au goût du jour de l’arbre champêtre.

L'arbre champêtre, pas l'arbre forestier

Car il ne faut pas confondre l'arbre forestier, qui pousse dans les forêts (plus ou moins) naturellement,
et l'arbre champêtre, celui qu’on plante pour servir la terre et les animaux : abri, coupe-vent, ombre, fourrage.

Sous ses arbres, Nicolas élève des volailles, poulets, pintades, chapons...
Tous bénéficient d’un cadre de vie exceptionnel.

Ici aussi, nous plantons des arbres

Au Domaine de Saint-Géry, nous plantons aussi des arbres, depuis 35 ans (quelques milliers) et des haies (quelques kilomètres).

Nous plantons parce que nous aimons les arbres et parce que nous savons ce qu’ils nous apportent : fruits, ombre, matière organique, truffes, énergie, bonheur, ...

Et puis l'ombrage des arbres est idéal pour élever des animaux : veaux, vaches, cochons, agneaux (comme nos agneaux des truffières), et aussi des poulets heureux.


Pourquoi avoir demandé plus ?


Quand Nicolas m’a fait goûter ses volailles pour la première fois, j’ai dit : « Je prends tout ! »

Après quelques dégustations (goûter, c'est la seule vérité), je lui ai demandé d'aller encore plus loin. Je lui ai demandé d’augmenter les durées d'élevage juste pour nous.
Et il a accepté.

Les volailles grandissent lentement150 jours, cinq mois complets, sous des arbres, avec un système de poulaillers mobiles dans le même esprit que le nôtre pour nos poules pondeuses.

Les pintades atteignent 2,5 kg.
Les poulets dépassent 3 kg vifs.

Vous allez me demander "Mais pourquoi avoir demandé d'augmenter la durée d'élevage si ces oiseaux sont déjà exceptionnels ?"
Pour obtenir des volailles plus charnues, plus grasses, avec une chair encore plus savoureuse.

Poulet agroforestier de Nicolas rôti à la broche

Ces volailles sont désormais un incontournable de notre restaurant

Comme notre Porc Gascon élevé sous les arbres, les pintades et les poulets de Nicolas sont devenus des plats phares de notre cuisine.

Et depuis 3 ans, à chaque livraison, je vous en réserve quelques-uns.


Et nous, que faisons-nous ?

Quand l'élevage est terminé, Nicolas nous les envoie et nous préparons chaque volaille : vidée, flambée, ficelée prête à cuire.
Pour que ça soit simple et rapide pour vous.


Ce que vous allez recevoir chez vous

  • Une volaille exceptionnelle élevée 150 jours sous les arbres
  • Certifiée bio, nourrie aux céréales de la ferme, ajustées à chaque âge
  • Vidée, flambée, ficelée, mise sous vide
  • Prête à cuire, comme pour nous au restaurant
  • Facile à réussir, impossible à oublier
  • Une chair enrichie naturellement en gras pour une texture fondante, la peau croustillante, le jus parfumé
  • Volailles généreuses : entre 2,5 kg et 3 kg vifs.
  • Un goût intense, même froide.
    Le lendemain, il en reste. Et c’est encore meilleur. La chair garde toute sa tenue et son parfum reste intact.
    Une tranche fine de blanc avec une salade et une mayonnaise à l'huile d'olive, et c’est le pique-nique parfait.
  • Une volaille qui ne demande pas beaucoup de cuisine
    Parce que sa saveur se suffit à elle-même. Pas besoin de crème, pas besoin d'épices. Juste un plat au four, des légumes que vous avez sous la main et le goût fait le reste. Et ce, même pour ceux qui n’aiment pas cuisiner.
  • Dont vous connaissez la provenance et celui qui s’en est occupé.
    Vous connaissez le prénom de Nicolas. Et le mien.
    C’est une volaille avec une histoire. Pas un numéro sur une barquette.
  • Aucun résidu d’aliments industriels
    Pas de lourdeur. Juste la sensation d’avoir bien mangé.
    C'est une volaille qu’on digère bien.
  • Pas de compromis sur le bien-être animal
    Pas de promiscuité, pas de stress.
    Le matin et à toute heure de la journée, les volailles chantent dans les arbres.


Ce que vous n’aurez plus à faire

  • Cacher le goût avec des sauces.
  • Forcer sur les épices
  • Mariner pour rattraper.

Quand le produit est exceptionnel, il se suffit à lui-même.


Seulement 2 fois par an
2 volailles par commande maxi

Les pintades font jusqu'à 2,5kg et ces "poulets" font plus de 3 kilos vifs.
Malheureusement, Nicolas nous les livre seulement deux fois par an.
Depuis 2022, j'ai décidé de vous en faire profiter aussi.

Bien sûr, je garde de ces volailles pour le restaurant mais il y en aura 15 (pas une de plus) pour les amateurs qui se décident rapidement.


Plusieurs milliers de personnes ont déjà goûté nos produits,
ou sont venus au Domaine de Saint-Géry.


Ce qu’ils en disent
:



Garanties

Si pour une raison ou une autre, vous n’êtes pas enchanté par cette volaille,
contactez Pascale au 05 65 31 82 51.
Nous trouverons une solution pour vous satisfaire.

Les questions qu'on me pose souvent

Pourquoi les volailles sont disponibles seulement deux fois par an ?
Parce qu’il faut 150 jours pour faire une volaille comme celle-là, et qu’une année n’en compte que 365.
Nicolas fait deux élevages par an, pas plus.

Comment préparer la volaille, comment la faire cuire ?
Vous avez juste à ouvrir la poche, poser la volaille sur une grille au-dessus de votre lèchefrite dans laquelle vous aurez mis un verre d'eau, et vous cuisez 1h-1h15 au four à 180°C. Rien d'autre.

Quel accompagnement cuisiner avec cette volaille ?
Pour le plus simple et peut-être le meilleur, à mi-cuisson, rajoutez quelques pommes de terre émincées dans la lèche frite et quelques gousses d'ail ou des poireaux et vous avez un plat complet.

Combien de temps puis-je conserver mon poulet ou ma pintade ?
Ils sont livrés sous vide et se conservent une semaine au réfrigérateur.

Est-ce que je peux congeler la volaille ?
Oui, la volaille est emballée dans un sachet sous-vide, vous pouvez la congeler. Quand vous voudrez la faire cuire, sortez-la 24 heures à l’avance et laissez-la décongeler dans votre réfrigérateur.

Pourquoi le prix est plus élevé que les poulets fermiers qu’on trouve ailleurs ?
Le prix reflète :

  • Le mode d’élevage très long sur parcours agroforestier en petites bandes de volailles sans promiscuité,
  • La nourriture artisanale des volailles préparée à partir des céréales de la ferme de Nicolas,
  • La découpe soigneuse pour que ce soit le plus simple pour vous,
  • La préparation minutieuse de la volaille comme dans un restaurant étoilé : parée, flambée, ficelée,
  • La qualité du transport et conservation en camion frigorifique.

Une question, n’hésitez pas à appeler Pascale au 05 65 31 82 51


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Patrick Duler

cuisinier-paysan

Fondateur de la Maison Duler

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