Le Label Rouge est né dans les années 60 pour défendre le goût face à l’élevage industriel. À l’époque, c’était une avancée : plein air, céréales françaises, durée d’élevage prolongée.
Le fait est que le cahier des charges s'est considérablement élargi.
Aujourd'hui ? Des poulets élevés par milliers — 4 000 à 6 000 oiseaux par bâtiment, avec leurs maigres 2 m² de parcours extérieur.
Abattus entre 81 et 90 jours. C’est mieux que le standard industriel, mais le goût reste conventionnel.
Le label garantit un process.
Mais est-ce que le résultat gustatif est au rendez-vous ?
Ce qui fait la différence chez Nicolas
Ne mélangez pas l'élevage de Nicolas à un autre.
Chez lui, on parle de lots de 400 volailles.
Pas 6 000.
Élevées sous arbres et prairies, en agroforesterie. Pendant 140 à 160 jours.
Pas 81.
L'alimentation ?
Grains produits sur la ferme, herbe, feuilles, insectes.

Zéro antibiotique. Zéro aliment industriel. Et ça, presque personne n'y pense.
Le résultat forcément : une chair ferme et fondante à la fois, une peau fine et dorée, et ce gras naturellement présent sous la peau.
Comme les chapons que vous trouvez à Noël.
Mais en mieux, vous allez voir...
Et les chapons loupés ?
Chaque année, fin octobre, Nicolas me réserve des pépites :
des poulets sélectionnés pour devenir chapons sauf que la castration n’a pas pris.
Encore mieux d'ailleurs : ils gardent toute leur vigueur, tout en ayant développé le gras et la densité d'un vrai chapon.
Pourquoi ?
Parce que c’est le même élevage, la même alimentation.
Pourquoi je le soutiens
Parce que Nicolas représente une voie oubliée : le poulet non industriel.
Je vous parle d’un poulet de luxe, dont la qualité n’a rien à envier à un sac Hermès.
Mais tout de même accessible.
Pas au même prix que le Kelly d’Hermès, même s'il est encore plus rare.

Pour en goûter avant la fin de la saison ?
Commandez vos chapons loupés et poulets de Nicolas ici
Par contre, ne tardez vraiment pas si ça vous intéresse.
Quantités limitées. Deux chapons maximum par commande.
Et oui, ça se congèle parfaitement.
C'est ce que je ferais si j'étais vous : j'en commanderais deux pour en avoir à disposition pour des repas en famille et les fêtes de fin d’année.
Demain ?
On va parler des poulets bio.
Et nous explorerons ensemble cette équation simpliste que bio égale bon goût.
Vous allez voir, ce n'est pas si simple.
























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