Le dimanche, c’est le moment des bonnes résolutions.
On se promet de mieux manger, de reprendre la main.
Mais dès lundi, les vieilles habitudes reviennent.
On cède à la facilité : un sandwich triangle SNCF avalé à midi avec un café Nespresso au parfum de capsule.
Un Uber Eats ou un hachis parmentier Picard réchauffé en vitesse, englouti devant BFM le soir.
On croit gagner du temps.
En réalité, on perd le goût et la santé.
On croit choisir librement. Mais bien souvent, c’est l’industrie qui décide.
Depuis 40 ans, à Lascabanes, je refuse ce marché de dupes.
Parce que derrière chaque plat « prêt en 3 minutes », il y a des additifs qui vous volent vos papilles.
Ce qu’on met dans nos assiettes, ce sont des aliments morts :
- un cordon bleu Findus gonflé à l’eau,
- une pizza Buitoni saturée d’huile de palme,
- des sauces épaissies à la gomme xanthane,
- des yaourts Danone parfumés à la fraise sans fraise,
- des plats « sans gluten » truffés d’additifs comme le E407 (carraghénane) ou le E450 (phosphates).
Ce n’est pas de la cuisine, c’est de l’ingénierie agroalimentaire.
Et surtout, on ne mange plus en famille.
Chacun vit de son côté avec son McDonald’s, son Uber Eats, son Domino’s Pizza ou son sushi industriel de Monoprix.
On a perdu le bonheur simple de préparer ensemble, puis de partager un repas autour de la table, en échangeant avec ses proches.
Cette fracture du quotidien est l’une des plus grandes victoires de l’industrie : briser le lien humain que le repas incarnait depuis toujours.
Ici, nous faisons l’inverse.
Produire avant de cuisiner.
Refuser les texturants et les faux luxes marketés.
Le dimanche, reprenons le goût en main
Reprendre les gestes simples : du pain au levain indigène, un jambon affiné (très) longuement en cave sans nitrites, des cuissons au feu de bois, …
Et partager les repas en famille deux fois par jour, chaque jour de l’année
Une cliente me l’écrivait récemment :
« Votre domaine est magnifique, il vous ressemble.
Merci pour votre accueil et pour la mémoire gustative que vous redonnez. »
Sandrine
Chaque dimanche, une recette pour résister
Chaque dimanche, je vous propose une résistance concrète : retrouver une cuisine simple et immédiate sans passer des heures en cuisine.
Ce n’est pas une injonction mais une clé : cuisiner deux ou trois bons ingrédients, et retrouver un plaisir immédiat.
C’est ça, notre mission : vous aider à discerner, choisir, cuisiner autrement.
Et mieux digérer en éliminant additifs et texturants.
Cuisiner simplement avec peu d’ingrédients mais les bons.
Alors ce dimanche, on commence simple : une tarte fine tomate-figatel qui se monte en un clin d’œil avec 4 ingrédients seulement.
Mais impossible à reproduire avec les ingrédients de l’agro-business.
Et cette semaine, pour tout demi-agneau des truffières commandé, nous offrons un figatel d’agneau.
Mais vous ne le recevrez que la semaine prochaine, car ceux de cette semaine sont déjà tous réservés.
Commandez votre demi-agneau aujourd’hui et recevez votre figatel offert
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
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