Les volailles de Nicolas

Vous les voyez dans les pubs à la télé, ces poulets qui courent ?

Vous connaissez déjà ce discours avec les poules élevées en plein air et les poulets qui gambadent.
Mais voilà ce qu'il se passe vraiment.

Mais même en bio, les volailles sont élevées dans des exploitations agricoles spécialisées et industrialisées. 
Des bâtiments industriels, où l’air devient irrespirable dès que la ventilation tombe en panne.
Quand ils peuvent sortir, c’est sur un morceau de terre battue, boueuse en hiver et poussiéreuse en été.
Leur nourriture ?
Des ingrédients fabriqués dans des usines, parfois venus de l’autre bout du monde.

Mais vous ne verrez jamais ça à la télé.

Chez Nicolas, il se passe autre chose

Chez Nicolas, on parle d’un écosystème vivant, complet et cohérent.
Parce qu’il a une autre vision de l’agriculture.

Les poulets et les pintades sont élevés sur une ferme en polyculture-élevage.

J’oserais dire « à l’ancienne » si ce n’était pas si galvaudé.

Une ferme où il y a des animaux et des cultures, une ferme habitée

Sur la ferme de Nicolas, vous trouvez :

• des volailles
• des Porcs Gascons
• des céréales
• des arbres partout
• un atelier de meunerie et de boulangerie...
• des enfants… et plein d’autres choses.

Ma rencontre avec Nicolas

J’ai rencontré Nicolas en 2014 parce que nous avons tous les deux été précurseurs
dans la remise au goût du jour de l’arbre champêtre.

L'arbre champêtre, pas l'arbre forestier

Car il ne faut pas confondre l'arbre forestier, qui pousse dans les forêts (plus ou moins) naturellement,
et l'arbre champêtre que l'homme plante depuis la nuit des temps
pour son utilité agricole (coupe-vent, abri, fourrage, ...).

Il peut être en bordure de champ sous forme de haies
ou bien au milieu des cultures pour pratiquer ce qu'on appelle maintenant l'agroforesterie.

Et sous ses arbres, Nicolas élève des volailles, poulets, pintades, chapons...
Tous bénéficient d’un cadre de vie exceptionnel.

Ici aussi, nous plantons des arbres

Au Domaine de Saint-Géry, nous plantons aussi des arbres, depuis 35 ans (quelques milliers) et des haies (quelques kilomètres).

Nous plantons parce que nous aimons les arbres et parce que nous savons ce qu’ils nous apportent : fruits, ombre, matière organique, truffes, énergie, bonheur, ...

Et puis l'ombrage des arbres est idéal pour élever des animaux : veaux, vaches, cochons, agneaux (comme nos agneaux des truffières), et aussi des poulets heureux.

5 mois d'élevage sous les arbres

Pintades, poulets, chapons et poulardes sont élevés sous les arbres avec un système de poulaillers mobiles dans le même esprit que le nôtre pour nos poules pondeuses.

"Quand Nicolas m'a fait goûter ses volailles..."

... J'ai dit : "Je prends tout !"

Après quelques dégustations (goûter, c'est la seule vérité), j’ai demandé à Nicolas d’augmenter les durées d'élevage juste pour nous.

Pourquoi ?
Pour obtenir des volailles plus charnues, plus grasses, avec une chair encore plus savoureuse.

Ces volailles sont désormais un incontournable de notre restaurant

Comme notre Porc Gascon élevé sous les arbres, les pintades et les poulets de Nicolas sont devenus des plats phares de notre cuisine.

Et depuis 3 ans, à chaque livraison, je vous en réserve quelques-uns.

Certifiées bio et nourries au grain

Ces volailles sont élevées selon le cahier des charges biologique et bien au-delà.

Une alimentation maison et sur-mesure

Leur nourriture est constituée des céréales produites par Nicolas sur sa ferme. Et comme Nicolas est un puriste, il adapte la nourriture de ses poulets, il leur concocte un mélange spécifique de céréales, différent en fonction de leur âge.

Et en plus, ces volailles mangent tout ce qu'elles trouvent sous les arbres : herbe fraîche, insectes, vers de terre, feuilles, ..

150 jours d’élevage sous les arbres pour une chair extraordinaire

En général, Nicolas commercialise ses poulets à 100 jours, mais pour nous il les élève spécialement jusqu’à 150 jours.

Les pintades font jusqu'à 2,5kg et ces "poulets" font plus de 3 kilos vifs.
Malheureusement, Nicolas nous les livre seulement deux fois par an.
Depuis 2022, j'ai décidé de vous en faire profiter aussi.

Bien sûr, je garde de ces volailles pour le restaurant mais il y en aura 5 (pas une de plus) pour les amateurs qui se décident rapidement.

En quoi cette volaille est si spéciale ?

Vous vous posez sûrement la question.

C'est une volaille :

• Elevée lentement en agroforesterie
  150 jours de patience, et la chair s’enrichit naturellement en gras pour une texture fondante
  
  
• Nourrie à la ferme
  Nicolas cultive lui-même les céréales qu’il donne à ses animaux.
  Quand il passe dans le champ, il sait ce que ses poulets mangeront le lendemain
  
  
• Sans résidus d’aliments industriels
  Pas de lourdeur. Juste la sensation d’avoir bien mangé.
  C'est une volaille qu’on digère bien.
  
  
• Sans compromis sur le bien-être animal
  Pas de promiscuité, pas de stress.
  Le matin et à toute heure de la journée, les volailles chantent dans les arbres.
  
  
• Au goût intense, même froide.
  Le lendemain, il en reste. Et c’est encore meilleur. La chair garde toute sa tenue et son parfum reste intact.
  Une tranche fine de blanc avec une salade et une mayonnaise à l'huile d'olive, et c’est le pique-nique parfait.
  
  
• Avec une chair ferme, goûteuse, qui ne se délite pas à la cuisson.
  Où le couteau tranche net, la peau croustille, le jus est parfumé.
  
  
• Qui ne demande pas beaucoup de cuisine
  Parce que sa saveur se suffit à elle-même. Pas besoin de crème, pas besoin d'épices. Juste un plat au four, des légumes que vous avez sous la main et le goût fait le reste. Et ce, même pour ceux qui n’aiment pas cuisiner.
  
  
• Dont vous connaissez la provenance et qui s’en est occupé.
  Vous connaissez le prénom de Nicolas. Et le mien.
  C’est une volaille avec une histoire. Pas un numéro sur une barquette.
  
  

Goûtez, et vous saurez

Rien ne remplace la dégustation.
C’est la seule vérité.

Et si vous franchissez le pas, vous verrez :
ce goût-là ne s’oublie pas.

Seulement 2 fois par an
2 volailles par commande maxi

Pourquoi seulement deux fois par an ? Parce que ces volailles sont élevées lentement pendant 150 jours et qu'il n'y a malheureusement que 365 jours dans une année.

Ce que vous allez recevoir chez vous

• Une volaille exceptionnelle élevée 150 jours sous les arbres
• Certifiée bio, nourrie aux céréales de la ferme, ajustées à chaque âge
• Vidée, flambée, ficelée, mise sous vide
• Prête à cuire, comme pour nous au restaurant
• Facile à cuisiner, impossible à oublier

Garanties

Si pour une raison ou une autre, vous n’êtes pas enchanté par cette volaille,
contactez Pascale au 05 65 31 82 51.
Nous trouverons une solution pour vous satisfaire.

Plusieurs milliers de personnes ont déjà goûté nos produits,
ou sont venus au Domaine de Saint-Géry.

Ce qu’ils en disent :

Une magnifique découverte, une belle expérience gustative. Très impressionné de votre savoir-faire, du respect de la nature, des animaux.

Magique !”

Alain et Marie-Chantal C.

Un art de se nourrir
Quant aux produits, il ne faut pas en parler. Il faut venir les déguster… plus qu’une expérience, un art de se nourrir.
JUAN-CARLOS ET MARIE-ANNE

Raffinement jusqu’au moindre détail
Sublime ! Chaque mets expliqué, commenté et justifié dans son origine et particularité, c’est un pur bonheur ! Je ne savais pas que cela pouvait exister, un tel raffinement jusqu’au moindre détail...

GUY ET MONIQUE

Quand le sens du goût et du plaisir rejoint les enjeux de la planète…Merci encore.
SÉBASTIEN D.

Tout est limpide à la dégustation, les saveurs prennent alors un sens … Chacune d’elles me parle pour raconter l’histoire d’une passion, votre histoire, façonnée par votre pugnacité imprégnée d’excellence. Voici l’accord parfait de l’accueil et de la cuisine au service de moments privilégiés à partager. Tout cela ne peut inspirer qu’un profond respect et une infinie gratitude.

Le diable, dit-on, est dans les détails… Je n’ai trouvé dans cette “Principauté” que l’excellence dans chaque détail…

Ambassadeurs du Bon Vivre, merci."

- Patrick B.

C’est maintenant… ou jamais

Vous êtes libre de goûter… ou pas.
Peut-être que ce n’est pas encore le bon moment.

Mais attention.

Si vous cherchez un bon prix au kilo, passez votre chemin.
Ici, c’est le goût qui marque les esprits.

Si vous franchissez le pas, vous comprendrez pourquoi ce goût-là ne s’oublie pas.

Pour déguster cette merveille, c’est simple. Vous avez juste à cliquer ici :

Questions/Réponses

Pourquoi les volailles sont disponibles seulement deux fois par an ?
Parce qu’il n’y a que 365 jours dans l’année et que les volailles sont élevées pendant 150 jours. Dans les élevages industriels, les poulets sont abattus à 38 jours ce qui permet des rendements élevés.

Comment préparer la volaille, comment la faire cuire ?
Vous avez juste à ouvrir la poche, poser la volaille sur une grille au-dessus de votre lèchefrite dans laquelle vous aurez mis un verre d'eau, et vous cuisez 1h-1h15 au four à 180°C.

Quel accompagnement cuisiner avec cette volaille ?
Pour le plus simple et peut-être le meilleur, à mi-cuisson, rajoutez quelques pommes de terre émincées dans la lèche frite et quelques gousses d'ail ou des poireaux et vous avez un plat complet.

Combien de temps puis-je conserver mon poulet ou ma pintade ?
Ils sont livrés sous vide et se conserve une semaine au réfrigérateur.

Est-ce que je peux congeler la volaille ?
Oui, la volaille est emballée dans un sachet sous-vide, vous pouvez la congeler. Quand vous voudrez la faire cuire, sortez-la 24 heures à l’avance et laissez-la décongeler dans votre réfrigérateur.

Pourquoi le prix est plus élevé que les poulets fermiers qu’on trouve ailleurs ?
Le prix reflète :

• Le mode d’élevage très long sur parcours agroforestier en petites bandes de volailles sans promiscuité,
• La nourriture artisanale des volailles préparée à partir des céréales de la ferme de Nicolas,
• La découpe soigneuse pour que ce soit le plus simple pour vous,
• La préparation minutieuse de la volaille comme dans un restaurant étoilé : parée, flambée, ficelée,
• La qualité du transport et conservation en camion frigorifique.

Une question, n’hésitez pas à appeler Pascale au 05 65 31 82 51