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Publié le 30 Mar, 2024

Au début, dans les années 80-90, j’ai bricolé le pain en autodidacte pendant dix ans, j’ai fait plein d’expériences : avec la levure e boulanger, avec une machine à pain, avec des farines industrielles, avec la farine d’un meunier, …

Le résultat n’était pas formidable.

Vous voyez de quoi je parle ? Des pains tout aplatis, très compacts…

Et puis en 1994, j’ai fait  la rencontre chez Lenôtre de Jean-Louis Clément, Meilleur Ouvrier de France boulangerie et j’ai appris les techniques de boulangerie.

Avec lui, j’ai fait toutes formes et tailles de pain, des baguettes,  des tabatières, des boules, des tourtes et toutes sortes de pains, au levain, sur poolish, sur levain-levure, …

J’ai fait de la viennoiserie, des brioches, des croissants et de pains au lait.

Après cette rencontre déterminante, 

j’ai fait du pain à partir de mon blé et de ma farine, 100% levain, cuit dans notre four à bois chauffé avec le bois coupé sur le domaine.

J’en ai fait beaucoup, chaque fournée faisait 200 kilos de pâte, sans compter les pains spéciaux, au seigle, à la farine intégrale, aux olives, aux noix, et sans compter les pâtisseries : brioche, florentins, …

J’ai vendu mon pain sur les marchés locaux avec mon épouse, pendant 5 ans. 

A la fin, nous avions embauché un boulanger et 3 vendeurs et on faisait une vingtaine de marchés par semaine à 100 kms à la ronde.

Et puis j’en ai eu marre

je ne faisais plus de pain, j’étais devenu DRH, à régler sans arrêt les conflits, les absences, …

Alors, avec Pascale on a décidé de tout arrêter, et on a fait le pain juste pour nous et notre restaurant.

Je suis passé de 200kg de pâte à 2kg.

Par la suite je suis « remonté » à 10 kg de pâte par tournée.

Faire de petites quantités de pain dans sa cuisine, c’est encore une autre expérience.

Mais finalement, que ce soit 200 kilos, 2 ou 10 kilos de pain, les principes restent les mêmes.

Mais j’ai tiré  de cette longue expérience, longue et variée, 3 points initiaux, pour réussir son pain chez soi ou dans son restaurant, facilement et en seulement 5 minutes par jour.

Ces trois points vont vous étonner car presque personne n’en parle, ce sont :

1. La qualité du blé
2. La qualité de la mouture
3. La qualité de l’eau

Si vous ne respectez pas ces trois points initiaux, il est IMPOSSIBLE de faire un bon pain.

Le reste, c’est de la technique 

que vous maîtriserez en vous amusant

en trois jours de détente gastronomique 

au cours d’un de nos séjours orchestrés pain.

Dès le premier jour, 

vous aurez toutes les connaissances pour trouver le blé, la farine et l’eau 

indispensables pour faire un bon pain au levain.

J’ai eu la chance de rencontrer le MOF boulanger Jean-Louis Clément 

Dans mes séjours orchestrés pain au levain, 

je veux vous faire profiter de la même chance que j’ai eue.

Dès le premier jour, 

vous aurez toutes les connaissances pour trouver le blé, la farine et l’eau 

indispensables pour faire un bon pain au levain.

Lancez-vous dans le monde du pain, découvrez le plaisir de faire votre propre pain, vous serez fier du résultat

Vous n’avez pas envie de faire votre pain vous-même, vous ne vous sentez pas encore prêt, venez « simplement » en séjour, vous goûterez notre pain et bien d’autres choses. Vous profiterez de la piscine, des 12 kms de sentiers privés sur le domaine et bien d’autres bienfaits.

Vous voulez mieux comprendre la gastronomie, l’agriculture et leur impact sur votre santé ?

Rejoignez les lecteurs exigeants de notre « Lettre au Bon Goût »

Patrick Duler

cuisinier-paysan

Fondateur de la Maison Duler

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