On a été convié par Maryvonne et François Pinault mais…

 « Est-ce que ce ne serait pas Salma Hayek ?” me demande ma fille Camille en se penchant vers moi.

Un rapide coup d’œil me permet d’identifier que c’est bien elle.

Nous sommes à Venise sur l’île de San Giorgio Maggiore.

Autour de nous, la Ministre de la Culture Rachida Dati, des collectionneurs, des peintres, des écrivains, des stars d’Hollywood comme Zoé Saldana, discutent un verre à la main.

Tout le gratin du monde de l’art est venu des quatre coins de la planète pour se retrouver ici et assister à l’événement pour la 60ème édition de la biennale de Venise.

La famille Duler y a été conviée aussi, et on nous a demandé d’organiser une expérience gustative pour l’occasion.

Il se trouve qu’on avait justement ce qu’il fallait :

Cinq jambons 30 mois d’affinage.

Les mêmes que celui qui a été élu meilleur jambon au monde à Barcelone.

C’est donc au milieu des colonnes blanches à l’architecture typique italienne, que nous avons présenté dans de belles assiettes, de fines tranches de ce qui a fait la renommée de la Maison Duler.

Tout le monde a saisi tour à tour un petit morceau de jambon.

“Le jambon, c’est comme le vin, il y a une façon de le déguster…” ai-je commencé à expliquer avant de passer à la dégustation.

J’ai confiance en mes jambons.

On connaît la qualité de ce qu’on produit ou bien, on ne la produit pas. Mais j’ai toujours cette petite pointe d’appréhension qui me parcourt l’échine quand quelqu’un goûte une création Duler face à moi.

L’appréhension s’est vite dispersée quand j’ai lu ce que je recherchais sur le visage des  convives :
La surprise. Suivi d’un moment de plaisir. Qui se finit par un retour à la réalité.

Comme s’ils venaient d’être transportés hors du temps pendant un court instant.

Tout le monde s’est resservi une deuxième fois, puis une troisième, jusqu’à ce que le jambon soit fini.

Ce serait certainement prétentieux de dire que nos jambons sont exceptionnels, alors je ne vais pas le dire.

En revanche ce que je peux vous proposer, c’est d’essayer, et de vivre l’expérience par vous-même.

Il y a une raison pour laquelle nos clients goûtent, et y reviennent.

Il me reste actuellement 37 jambons 30 mois d’affinage en stock pour cet été (On n’en produit que très peu chaque année).

Vous pouvez retrouver toutes les informations et passer commande en cliquant ci-dessous.

Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous. 

Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler

P.S. : Régulièrement,  je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.

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